Laeticia et Paulo

Cet été, la Saison France-Portugal 2022 met en lumière les liens d’amour qui unissent la France et le Portugal.

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Anne et Helder

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Aurélie et Carlos

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Cyndie et Thibaud

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Fanny et David

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Interview Ana Paixao

Ana Paixao


Directrice de la Maison du Portugal à la Cité Internationale Universitaire de Paris

La Maison du Portugal est un lieu emblématique de la lusophonie à Paris, comment est née cette institution ?
La Maison du Portugal a été crée par la Fondation Calouste Gulbenkian en 1960 et a ouvert ses portes en 1967, avec la désignation Maison des étudiants portugais. Depuis elle a accueilli environ 8000 étudiants de tous les domaines et de plusieurs nationalités différentes, notamment des boursiers de la Fondation Gulbenkian qui venaient à Paris pour continuer leurs études et développer une carrière artistique.

Quels sont les temps forts de son histoire ?
Un des moments forts de la Maison du Portugal a eu lieu quelques mois après son ouverture, quand, en mai 68, elle sera la Maison des étudiants et des travailleurs portugais, pendant quelques semaines. Avant la révolution des œillets, cette Maison était déjà un espace de liberté, et en 74 elle deviendra la Résidence André de Gouveia, pour rendre hommage à l’humaniste qui a été Recteur de la Sorbonne au XVIe siècle. Plus récemment, en 2014, la désignation change, devenant Maison du Portugal – André de Gouveia, et en 2016 deux nouveaux espaces ont été inaugurés : la Salle Fernando Pessoa et la Salle Vieira da Silva. Cette dernière accueille, depuis 2020, la Bibliothèque Gulbenkian : https://gulbenkian.pt/paris/bibliotheque/

Quelles sont les différentes missions de la Maison du Portugal ? Est-elle accessible à tous ?
La principale mission est celle de l’accueil d’étudiants qui viennent du monde entier. Cette année universitaire, nous avons des résidents de 43 nationalités différentes qui vivent ensemble dans ce bâtiment et apprennent à se connaître et à se respecter. Comme toutes les maisons de la Cité universitaire, la Maison du Portugal organise et accueille des événements en lien avec son pays d’origine et, pour notre cas, en rapport avec la langue et les cultures de langue portugaise, une programmation faite en partenariat avec mon collègue José Manuel Esteves qui dirige la Chaire Lindley Cintra de l’Université Paris Nanterre, et avec le Lectorat de langue portugaise de l’Université Paris 8 de Camões – Institut pour la coopération et pour la langue.
Pour résider à la Maison du Portugal il suffit d’être inscrit dans une université de la région académique Ile-de-France et candidater sur le site : www.ciup.fr
Pour venir assister à notre programmation, il suffit de venir. Toute notre programmation est libre et gratuite : https://www.citescope.fr/selection/saison-france-portugal/

Vous avez-vous-même été résidente à la Cité universitaire, qu’est-ce que cela vous a apporté personnellement, et plus largement, qu’est-ce que cela peut apporter à un jeune d’y résider ?
Les valeurs du campus au quotidien sont ceux du vivre ensemble, de l’interculturalité, de la connaissance de l’autre, et de la paix. La plus grande spécificité du campus est celle du brassage : l’échange de résidents d’une maison à l’autre qui permet d’avoir une expérience internationale sans sortir de Paris. Un séjour à la cité permet de créer des liens extrêmement forts et pérennes avec d’autres résidents internationaux. La cité est une fenêtre vers la France et Paris, et elle est surtout une ouverture vers le monde entier.

La Maison du Portugal est un acteur majeur de la Saison France-Portugal 2022 avec une programmation culturelle foisonnante, quelle est l’importance pour vous de cette Saison ?
La valeur principale de ce campus est celle de la paix, qui s’associe à d’autres principes comme ceux de la parité et du développement durable dans un campus habité par des jeunes. Ces aspects constituent également les axes de la Saison France-Portugal 2022, et le dialogue qui s’est établi depuis le premier moment avec les commissaires et les équipes des deux pays a bien montré cette affinité. La Saison permet de mettre en valeur, de diffuser une programmation qui a une affirmation progressive avec presque 900 événement organisés depuis 2010, et de créer de nouveaux partenariats, de nouer des liens avec d’autres institutions, associations ou artistes.

Quel est le premier bilan que vous pouvez tirer de cette première partie de Saison ?
Un bilan extrêmement positif, avec des salles pleines, montrant bien l’intérêt du public par la diversité proposée qui va de la musique au cinéma, en passant par des colloques, des expositions, de la danse ou des conférences.

Du point de vue des publics, est-ce que la Maison du Portugal est essentiellement composé de public lusophone ? Est-ce que la Saison permet d’ouvrir à d’autres publics ?
La Maison du Portugal est située à l’intérieur de la Cité internationale universitaire de Paris et notre public est essentiellement varié. Pour certaines activités, comme par exemple, les remises de prix, les rencontres avec les élèves qui font des cours de portugais, le public est essentiellement lusophone. Cependant, de façon générale, il s’agit d’un public éclectique, en termes de nationalité et d’âge.

Personnellement, quels moments forts retenez-vous ?
Le concert d’ouverture dédié à Alain Oulman et à Amália Rodrigues a permis de commencer le dialogue fusionnel entre les deux pays, avec la voix de Mariana Fabião et Jardin Jazz. D’autres moments forts que je retiens sont, par exemple : les créations de Lídia Martinez qui travaille sur les rapports interartistiques entre les deux pays depuis plus de quarante ans ; le projet d’édition AVA et de concert coordonné par Bruno Belthoise qui a permis cette année à 39 jeunes pianistes portugais et français de se produire sur scène en jouant des fados ; les présentations de projets d’élèves avec la coordination de l’enseignement du portugais en France autour de la préservation des océans ; les deux activités réalisées avec l’ILGA et l’Inter-LGBT avec l’exposition Familles diverses de Mag Rodrigues et le documentaire Les Lettres du Roi Arthur à partir de Cruzeiro Seixas et Cesariny, avec des lectures de la compagnie Cá & Lá ; le colloque 48 x 48 : 48 ans de démocratie après 48 de dictature, temporalités portugaises en miroir qui a permis de repenser le Portugal actuel à partir de la France, dans un dialogue de miroirs entre ses années sombres et ses années démocratiques.

Quels sont les événements à venir les plus importants ?
La rentrée prévoit encore plusieurs moments forts comme des dialogues entre la musique portugaise et française avec des propositions de concerts du Mouvement Patrimonial pour la Musique portugaise, une exposition sur la diaspora juive portugaise avec les éditions Chandeigne, Compagnie de danse d’Evora et une création de Nélia Pinheiro sur L’aveuglement de José Saramago, l’exposition des Couples de rêve des Borders Lovers qui présente des personnalités françaises et portugaises, le récital Une ville de papier autour de l’œuvre de Vieira da Silva, et pour la clôture un projet de deux pianistes de jazz, José Inácio et François Couturier, qui rassemble aussi photographie et littérature.

Que pensez-vous qu’il va rester durablement de cette Saison ? Ou qu’aimeriez-vous qu’il reste ?
Une image très positive de la création portugaise, une curiosité et une envie de continuer à (re)découvrir le Portugal.

Et après la Saison, quels sont les projets, le programme ?
Le programmation poursuivra ses partenariats avec les universités françaises et portugaises, les maisons d’édition, les Festivals Parfums de Lisbonne ou Signes de Nuit, les conférences européennes avec Europa minha, les expositions et cycles de conférences du projet Chiado, Carmo, Paris et les Beaux-Arts de Lisbonne, les concerts et éditions avec AVA autour du répertoire de compositeurs portugais pour le piano, les partenariats avec des concours de musique portugais comme Santa-Cecília ou Rotários, les résidences artistiques dans les domaines du théâtre (Orelhas absolutas, Cá & Lá) ou de la danse (3CL, A2), et surtout une grande ouverture pour accueillir de nouveaux projets et défis issus de la Saison France-Portugal 2022.


Pongo

Pongo, de son vrai nom Engracia Domingos da Silva, est née en 1992 à Luanda, en Angola. A huit ans, ses parents fuient la guerre, emmenant leurs enfants au Portugal, à Lisbonne. Pongo grandira dans la capitale portugaise, dans des conditions difficiles. La précarité, l’autoritarisme de son père, les discriminations, l’adolescence de Pongo est difficile, tellement qu’à 12 ans, elle tente de mettre fin à ses jours. En convalescence, elle découvre un groupe de musique de rue, Denon Squad, qui joue du kuduro, un mélange de break dance, de semba angolaise et d’électronique né à la fin des années 90. Après son rétablissement, elle commence à danser avec le groupe, à chanter du rap et prend le nom de PongoLove, en référence à une chanteuse angolaise atteinte de polio.

Elle rencontre ensuite le groupe Buraka Som Sistema. Elle se produit pour la première fois sur scène avec eux en 2008 dans la salle de concert Music Box à Lisbonne. La même année, alors qu’elle a à peine 15 ans, elle écrit et enregistre la chanson « Kalemba (Wegue Wegue) ». La chanson devient la bande originale des jeux Need for Speed: Shift et FIFA 10, et est largement diffusée sur YouTube, avec plus de dix millions de vues. Un succès dont elle ne touchera quasiment aucun bénéfice. Pour nourrir ses frères et sœurs, elle abandonne la musique et enchaine les petits boulots alimentaires. Un jour pourtant, alors qu’elle travaille en tant que femme de ménage, elle entend à la radio Wegue Wegue. C’est le déclic, elle décide de se battre et de reprendre sa carrière.
En 2018 elle sort son premier EP solo, Baia. En 2019, devenue Reine du kuduro, elle se produit pour la Fête de la musique au Palais de l’Elysée, et en juillet électrise le festival Europavox, où elle revient cette année. Elle poursuit ensuite une tournée dans toute l’Europe et sort en 2020 son premier album SAKIDILA et remporte le Music Moves Europe Talent Award.
Pongo, avec son énergie débordante et communicative, casse les barrières entre les genres musicaux. Zouk antillais, dance hall jamaïcain, afro beat, favela funk, rap, pop ou afro trap, son premier album entraine le kuduro dans de multiples directions.
A 30 ans, Pongo la guerrière a accompli son destin.


Marie Losier

Marie Losier, née à Boulogne-Billancourt en 1972 a étudié la littérature à l’Université de Nanterre (DEA, Diplôme d’Études Approfondies en littérature et poésie américaine) et aux Beaux Arts à New York (MFA/Hunter College), avant de réaliser de nombreux portraits avant-gardistes, intimes, poétiques et ludiques de cinéastes, musiciens et compositeurs tels que Alan Vega, les frères Kuchar, Guy Maddin, Richard Foreman, Tony Conrad et Jackie Raynal.
Ses films sont souvent présentés dans de prestigieux festivals (Cannes, Berlin, Rotterdam, IDFA, Tribeca / New York, CPH:DOX, Bafici / Argentine, Cinéma du Réel, Torino, etc.). Mais aussi dans des musées tels que la Tate Modern (Londres), le MoMA (NYC), le Centre Pompidou, ou encore la Cinémathèque Française (Paris) et le Whitney Museum (NYC).
Son premier long-métrage The Ballad of Genesis and Lady Jaye dresse avec délicatesse le portrait de Genesis Breyer P-Orridge (des groupes Throbbing Gristle and Psychic TV) et de sa compagne Lady Jaye. La première du film a eu lieu au Festival du film de Berlin en février 2011, remportant le Teddy award et le prix Caligari. Elle a reçu le Grand prix à Indielisboa, le prix Louis Marcorelles et le prix des bibliothèques (Cinéma du Réel); le film est sorti en France, au Canada, au Mexique, aux États Unis et en Allemagne.
En 2013/14, Marie Losier a obtenu les prestigieux DAAD Residency Award à Berlin et Guggenheim Award pour travailler sur son nouveau long métrage Cassandro the Exotico!, un portrait du célèbre catcheur mexicain, Saul Almendariz. Le film a été projeté en première mondiale lors du festival de Cannes (ACID) en mai 2018, il est sorti en salle en France en décembre 2018 et une sortie américaine est prévue en juillet 2019 (avec une première au Metrograph NYC).

En 2018, le MoMA a présenté l’ensemble de son travail filmique lors d’une rétrospective et a fait l’acquisition de ses films pour sa collection permanente.
Marie Losier a également eu une exposition personnelle à la galerie d’art contemporain, le BBB à Toulouse lors du Printemps de Septembre en 2018.
Et Eric Mangion a été le commissaire d’une exposition avec Marie Losier et Pauline Curnier-Jardin à la fondation Ricard en 2019.
Cette même année, deux rétrospectives lors du Festival d’Automne au Jeu de Paume à Paris, et à la Cinémathèque d’Athènes ont salué son travail, et en 2022 c’est la Cinématek de Bruxelles.
Dans le cadre de la Saison France-Portugal 2022,  Marie Losier prépare une exposition personnelle à la Galerie Solar/Vila Do Conde (Portugal) qui débutera au mois de juillet prochain. Parallèlement le festival de cinéma de Vila do Conde présente ses films.
Elle travaille actuellement sur 3 films: un portrait sur la chanteuse/performeuse, Peaches (Peaches Goes Bananas), un portrait sur le groupe musicale The Residents (Behind The Mask) et une comédie musicale, Sugar Bomb.

source Galerie Anne Barrault


Daniel Blaufuks

Né au Portugal en 1963,Daniel Blaufuks emploie principalement la photographie et la vidéo, présentant son travail sous forme de livres, d’installations et de films. Interrogeant les liens entre photographie et littérature, Daniel Blaufuks a une prédilection pour des questions telles que les connections entre l’espace et le temps, et l’intersection de la mémoire privée et publique.

Il est l’auteur de nombreux livres acclamés par la critique, et son oeuvre a fait l’objet, entre autres, d’expositions personnelles en 2011 au Museu de Arte Moderna de Rio de Janeiro (Brésil) ainsi qu’en 2014 au Museu Nacional de Arte Contemporânea do Chiado à Lisbonne (Portugal).

Daniel Blaufuks est titulaire, entre autres, d’un doctorat de l’Université du Pays de Galles (Royaume-Uni), il est également professeur à la Faculdade de Belas-Artes de l’Université de Lisbonne (Portugal).

Depuis 2009, l’artiste Daniel Blaufuks  photographie inlassablement un coin de sa cuisine et les micro-événements qui l’habitent, au gré des jours, des pluies d’été et des soleils d’automne. Sa série, intitulée Tentativa de esgotamento, est un écho lisboète à la Tentative d’épuisement d’un lieu parisien entreprise par l’écrivain français en 1974 depuis une terrasse de café de la place Saint-Sulpice. Perec y consignait, dans une volonté de totalité, tout ce qu’il voyait, buvait, mangeait. Chez lui, à Lisbonne, Blaufuks enregistre avec une pluralité de formes et d’échelles (polaroïd, chambre photographique ; miniature de la diapositive, monumentalité du tirage) la vie de la fenêtre, celle qui se tient tout contre elle, au fil des jours. Le coin de table, la cuisine –un milieu ambiant familier, peut-être le plus fréquenté au cours d’une vie–, cet espace intime apparemment vide et silencieux est disposé ici dans l’espace d’exposition, à notre lecture. D’une paire de lunettes à peine repliées à un tas de pièces de monnaie, d’empreintes en indices, c’est la vie de l’artiste que la photographie parcourt ; comme des pages de ce journal plié en bout de table, se répand un peu de la rumeur du monde.

Cette exposition est présentée au Centre photographique de Rouen-Normandie.


Marco da Silva Ferreira

Né en 1986 à Santa Maria da Feira, Marco Da Silva Ferreira est diplômé en physiothérapie par l’Institut Piaget, Gaia (2010).

Interprète professionnel depuis 2008, Marco da Silva Ferreira a dansé pour André Mesquita, Hofesh Shechter, Sylvia Rijmer, Tiago Guedes, Victor hugo Pontes, Paulo Ribeiro, entre autres. Il a travaillé comme assistant artistique de Victor hugo Pontes dans l’œuvre Fall et Se alguma vez precisares da minha vida, vem e toma-a en 2014, puis comme assistant chorégraphique dans la pièce de théâtre Hamlet de Mala Voadora.

Son travail de chorégraphe s’est développé autour des pratiques urbaines, dans une réflexion continue sur le sens des danses émergentes de nos jours, à travers un expressionnisme abstrait et très autobiographique.

Sa carrière prend un tournant avec HU (R) MANO(2013) présent lors des Aerowaves Priority Companies (2015) et a été joué dans des festivals internationaux à Barcelone, Mercat des las Flores ; Paris, Atelier de Paris/CDCN June Events ; Rio de Janeiro, Festival Panorama ; Théâtre de danse de Lublin, Pologne ; Londres, The Place, Festival de la monnaie ; Meylan, l’héxagone; (re) connaissance, Grenoble ; Lyon, Les Subsistances.

BROTHER (2016) a été créée au Teatro Municipal do Porto et était présent aux Aerowaves Priority Companies (2018) à Sofia. BISONTE a été créée au Teatro Municipal do Porto en 2019 et a été joué récemment au Teatro Municipal São Luiz, Lisbonne ; Charleroi danse, Bruxelles ; PT’19 à Montemor-o-novo puis en 2020 une tournée française (Toulouse, Bordeaux, Lyon et Paris). SIRI (2021),  une co-création avec le cinéaste Jorge Jácome et dont la Première a eu lieu au Festival Dias da Dança à Porto.

Entre 2018-2019, Marco a été Artiste associé au Teatro Municipal do Porto, puis de 2019 à 2021 au centre chorégraphique national de Caen en Normandie.

Il est présent dans la Saison France-Portugal avec plusieurs spectacles : Fantasie Minor, où crée la symbiose entre une œuvre emblématique de Schubert et la danse urbaine, présenté en Normandie et à Paris au printemps ;  Via Injabulo, chorégraphie collective avec Amala Dianor à l’invitation de la compagnie sud africaine Via Katlehong, présenté au Festival d’Avignon et au Théâtre National de Chaillot à Paris à l’automne ; SIRI, dans le cadre du projet Danse Dança Bordeaux Porto, présenté à Bordeaux à la Manufacture en octobre ; Novas Conexoes (New Links) : une commande du Conservatoire de Paris et de l’Escola Superior de Dança (Lisbonne) pour leurs étudiants, avec des résidences de création et des masterclass et enfin, pour la clôture de la Saison au Théâtre de la Ville à Paris,  S / Corpos de baile   une création commune avec Tânia Carvalho pour le Ballet national du Portugal !